Fernand Léger
Author(s) | Christian Derouet | ||
Editor | Centre Georges Pompidou-Ircam | Place | Parigi |
Year | 1997 | Pages | 320 |
Measure | 29x29 (cm) | Illustration | ill. a colori e b/n n.t. - colour and b/w ills |
Binding | bross. ill. - paperback | Conservazione | Usato buone condizioni- Used Good |
Language | Francese - French Text | Weight | 2400 (gr) |
ISBN | 2858509131 | EAN-13 | 9782858509133 |
not available
Paris, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, 29 mai-29 septembre 1997.
Madrid, Centro de arte Reina SofÂia, 28 octobre 1997-12 janvier 1998.
New York, Museum of modern art, 11 février-19 mai 1998.
Entre le Centre Georges Pompidou et Fernand Léger (1855-1955), il y a comme une relation d'amour. Un peintre d'avant-garde de la première moitié du XXe siècle, et un musée, fleuron de l'art moderne tant par son architecture que par ses collections magnifiques. Cette relation très proche, ne tenant pourtant qu'au virtuel, ne pouvait qu'aboutir à une exposition, qui s'acheva le 31 décembre 1999, et à un catalogue. Où l'on retrouve les reproductions de son oeuvre classées de manière chronologique et ponctuées de lettres de l'artiste, d'extraits d'interviews et aussi d'articles de "non-spécialistes qui ont situé Léger dans leur problématique propre". André Kaspi évoque le rêve américain, Rainer Rochlitz considère "l'esthétique" et Jean-Pierre Rioux revient sur l'oeuvre magistrale du peintre : Les Constructeurs. Celui qui se réclamait "de la poésie populaire" confiait en 1950 : "J'ai voulu marquer un retour à la simplicité par un art direct, compréhensible pour tous, sans subtilité. Je crois que c'est l'avenir, et j'aimerais voir les jeunes s'engager dans cette voie." C'est dans cet esprit que cet ouvrage s'inscrit : fait avec simplicité, il engage à une réflexion certaine sur l'art. Léger l'aurait sans doute approuvé. --Nathalie Robert Présentation de l'éditeur Ce numéro des Cahiers rassemble les lettres et messages succints qui nourrirent et jalonnèrent l'ardente liaison qui, de 1931 à 1940, unit Fernand Léger à Simone Herman. On ne trouve ici que les lettres de Léger ; les réponses "poste restante" de Simone Herman furent vraisemblablement détruites. Lettres d'amour pudique, ces écrits témoignent aussi de l'acuité et de la vigilance de son oeil de peintre. Elles sont une mine de renseignements sur l'art et les relations de leur auteur. Léger y aborde notamment, de multiples façons, une activité sur laquelle il est d'ordinaire peu prolixe : le dessin. "
Usato in buone condizioni.
Recommended books...